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2013-12-16T10:21:00+01:00

Publié depuis Overblog

Publié par JAK



Sous La Coupole.... il y a cette femme qui court et s’essouffle pour acquérir les derniers cadeaux de noël. Mais chez elle, autour d’elle il n’y a personne qui attendra ces cadeaux là, ils iront comme les années précédentes finir leur vie dans un placard … elle est seule, aussi seule que la mendiante de l’Est assise devant l’entrée de ce grand magasin la seule chose qui les différencie c’est les tunes

Sous La Coupole.... il y a ces vendeuses exténuées, qui voudraient bien fêter Noël en famille, mais doivent attendre que le magasin descendent  ses grilles scintillantes et parées de mille feux 
…et les petits, à la maison, attendront eux aussi pour recevoir les cadeaux..

Sous La Coupole.... il a Dorothée qui cherche une lingerie sexy et élégante pour ses grisants moments sensuels  

Sous La Coupole.... il y a également tous ces objets électroniques, attendus, tentants, alléchants, fabriqués ailleurs et qui font dérailler le PIB

Sous La Coupole.... il y a un rayon  rempli de livres qui donneront l’envie de s’évader

Sous La Coupole.... il y a tout une fourmilière en vie, avec ou sans passion, mais qui vit, s’accroche contre vents et marées 
                        
Sous La Coupole.... la vie bat son plein, la vie est là, la vie que nous aimons malgré tout  parcourir jusqu’au bout

&..........

Au dessus de la coupole, bien haut, il y a le Père Noel qui fait si bien rêver

 14 décembre 2013  Sujet semaine 51pour mil et unes  


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2013-12-15T19:35:00+01:00

que sont mes rytmes devenus

Publié par JAK




Que  sont  mes  Rythmes  devenus ?
Rumba, rock acrobatique ou bien  Reggae                                                          
Y a tant d’années qu’avec vous j’ai  virevolté !                                                       
Tels des leitmotivs, tous  vos rythmes m’endiablaient                           
Hélas les rhumatismes, qui  me démantelaient                                                               
M’ont après tous ces tours, rendue comme percluse                                       
Et arythmique,  suis aussi  advenue en sus !                                                                
 Mais  où sont  mes  rythmes  d’antan ?




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2013-12-06T00:20:00+01:00

Temps perdu à jamais

Publié par JAK



Ah zut où est passé mon  Smartphone?Je l’ai cependant

bien  embarqué tout à l’heure avec le  MP3, dans mon sac à dos, cet  immense havresac


Quel fouillis, il faudra que je remette de l’ordre !

 Enfin le voila, ça alors,  il  s’est déchargé, ce soir je ne pourrais le manipuler à ma guise !

Tous les jours de la semaine, ce trajet immuable  tout comme un arnaqueur, m’escroque  de trois heures de ma  vie, piégées, rabotées, envolées.

 Sans mes deux compagnons électroniques, qui ont le pouvoir de raccourcir cet intervalle,  je deviendrai atrabilaire, renfrognée, taciturne tellement cela me mine. Ce long parcours obligé, avant, et après  mon travail  m’éloigne de  mes pénates.  Je stresserais davantage si je n’avais pas de quoi occuper mon esprit

Evidemment,  je ne suis pas seule. Mais les autres, dans ce métro aux odeurs d’aisselles maltraitées, d’haleine empestées,  aux contacts souvent déplaisants, ennuyeux, rarement sympathiques,   sont tout  comme moi, abrutis de fatigue, de soucis, de contrariétés  et ne pensent  qu’à une chose : s’enfermer d’avantage dans leur intérieur. Là où ils se sentent eux-mêmes.

Depuis que je fais ce trajet,  j’ai appris à m’isoler... Ecouter  les derniers MP3 sortis, surfer sur internet en 3 ou 4 G, envoyer des SMS, rire des  blagues du chroniqueur à la mode sur Radio Truc.

Toutes ces menues activités  comblent cette période de vacuité, et  les heures s’écoulent…

Mais quand est-il de ce temps perdu de ma vie ?

Ces heures soustraites, « phagocytées » au détriment de  celles où je pourrais vivre avec quiétude, ces moments volés, tout cela  me rend   telle une somnambule, ne sachant  plus où ses pas la dirigent.

Ah ! Heureuse l’époque où jadis  l’on se parlait facilement, s’enquérant sans malice des nouvelles de l’autre, l’indifférence ne régnait pas, où l’on donnait du temps au temps, les tensions alors  s’évacuaient d’elles-mêmes.

 Mais aujourd’hui, je suis là, nous sommes là, tous   anonymes, sur ce quai de métro,  quidams  accrochés dans notre solitude, de vrais  zombis, des ombres courant après leur ombre, pour arriver je ne sais où ?  Où, plutôt,  je le suppute, hélas, de l’autre coté de la barrière, où les métros sont des fantômes.

Mais trêve de réflexions amères, la rame arrive en sourdine, je monte, trouve une place, assise cette fois, 

La vie est ainsi, elle tourne tout comme les roues pneumatiques du métro… sans cesse…..









                                                                                                JAK pour Bricabook 5 12 2013




     





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2013-12-05T00:10:00+01:00

Il y a....

Publié par JAK


Proposition de Domie suite deux

Depuis mon sixième étage, bien callée sur ma terrasse, j’observe le marché.

Cela grouille là-dessous, des sons cacophoniques montent jusqu’à moi.

J’embrasse cette foule cosmopolite, j’ai un grand champ visuel, mais mes yeux de myopes 
m’empêchent de cerner distinctement tous les détails.

Qu’à cela ne tienne, mes jumelles 10x50, me serviront encore une fois !

Là dessous, cette fourmilière me captive.

il y a... ce manchot-mendiant assis en tailleur, une sébile sur ces genoux, en quête  d’un regard bienveillant,  susceptible d’être suivi d’obole.

il y a... ce camelot lançant en l’air des torchons à carreaux, et qui les rassemble et en propose une douzaine à prix imbattable.


il y a... ce bambin, là,  sortant en courant d’un porche, à la poursuite de son ballon


il y a... sa mère affolée qui le talonne pour le stopper.

il y a... le volailler qui pèse avec précision, une poule qui se débat, les pattes attachées.

il y a... JANJAN le buraliste qui sort ses panneaux recouverts de revues alléchantes, parfois scandaleuses.

il y a... cette ménagère enturbannée qui compte sa monnaie, pour constater peut-être qu’il ne lui reste que peu d’euros pour terminer ses achats.

il y a... Utack et Azor, l’air de rien, renifleurs, qui lèvent la patte sur tous les étals au grand-dam des marchands.

il y a... deux commères  les mains sur les hanches : pia-pia-pia---patati patata

il y a... aussi, oui, quoi donc ?

Oui

il y a... le facteur zigzaguant sur son vélo entre les passants, une lettre timbrée
dans ses lèvres, c’est sa façon de trier rapidement, sans perdre de temps à chercher pour le prochain destinataire.


Un peu plus loin


il y a... la fumée qui sort du camion du pizzaïolo,

il y a... des clients qui commandent une pizza royale, ou jambon

il y a... des clients qui attendent la  fin de la cuisson, en salivant d’avance

il y a... le camion de JELITOU un grand sec, un crayon à l’oreille, qui propose des livres d’occasions, sales et déchirés.


Et là, soudain, un mouvement de foule.


Je ne distingue pas ce qui est encerclé. Je monte sur mon tabouret, et là au sol

il y a... cet homme qui s’agite en tout sens, personne n’ose l’approcher, il fait une crise d’épilepsie.

il y a... le médecin de mon deuxième qui arrive en courant, qui lui tire la langue avec un mouchoir blanc,

il y a... cet homme qui doucement revient sur terre

il y a... cette foule  qui est à nouveau  indifférente et s’éparpille, vaquant à ses occupations .

il y a... moi, qui enfin prends la décision, d’aller voir de plus près tout ce monde qui s’agite


 Mercredi 2013-12-04 les bricoleurs de mots




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2013-11-26T15:51:00+01:00

la feuille d automne

Publié par JAK





Automne tu nous offres toute la beauté généreuse de la nature

  
Couleurs de l’arc-en-ciel, tu sais si bien  les imiter,

Humus, exhalant  des senteurs embaumant nos narines comblées

Feuilles crissant sous les pas, pleurant de n’être plus bercées par les brises légères.

Arbres au grands bras déployés implorant le ciel pour conjurer le sort afin de vivre encore.
  
Énigmatiques silhouettes aux  chapeaux colorés, frangés,  buissonnants, isolés,  en fratrie,  en résidence permanente dans les chemins creux où  sous des bois protecteurs, nourriciers

Vieilles branches vermoulues, agonisantes, accueillantes pour mousses échevelées grouillantes, abris de microcosmes invisibles réparateurs de la terre.

Brume féérique des marais montant en volutes enivrantes.


Derniers envols d’oiseaux cherchant une cachette chaude, ou partant pour de longs voyages peut-être sans retour.


Queues rousses des écureuils voletant à la recherche d’improbables  restant de  noisettes.

Tu joues aussi dans le jardin, et nous offres une assemblée de couleurs,
Qui le soir près du feu, par un coup de baguette magique  sera devenue velouté.



Pour réjouir nos papilles

Automne tu m’ensorcelles, et ici je le concède,
De toutes les saisons, tu es ma préférée.


                                   utomne, revenu tu es  magique,
                                   n univers pour moi, fantastique
                                   es décors vivants et amples
                                   ù que je sois, je  les contemple
                                   ême si mon  coeur est un peu  lourd
                                   ous voici réunis, pour moi c’est du velours
                                   ncore  et encore dans la même harmonie





Défi #274 Jakepistolaire pour samedi défi 23 novembre 2013
Photos JAK


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2013-11-10T17:13:00+01:00

Au claire de la lune

Publié par JAK
Au clair de la lune, Pierrot lorgne la Terre
Terre tant   féconde,  chargée  de lumières
Lumières  jaillissantes, en  de maints   cerveaux
Cerveaux enraillés, perdus et  déboussolés.

Au clair de la lune, Pierrot désespère
Désespère et pleure   sur ces conquérants humains,
Humains, lesquels de la haut, épiant notre terre
Terrifiés verraient leurs proches surlendemains,
Presque qu’après demain, ne chantant  plus jamais,
Jamais plus cette chanson « si belle est la Terre »
Terre si belle, offerte, et promise aux hommes.
Homme qu’as tu fais de cette belle harmonie ?
Harmonie idyllique  qui régnait en maitre.
Maitre tu l’es devenu, hélas ici-bas,
Un jour pourras-tu rebrousser chemin ?
Sera-t-il facile de revenir sur tes pas ?


JAK mille et une sujet semaine 46

.






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2013-11-07T23:54:00+01:00

Cinq fenêtres, fenêtres de vie

Publié par JAK
1 à la maison
Je suis à la fenêtre, je décompresse, je rêve. Là bas, à l’horizon, le temps clair d’aujourd’hui me permet de distinguer le Mont Blanc qui resplendit sous le soleil. J ai l’impression que de la main je vais le toucher, je m’y transporte par l’esprit, je me vois sur une arête, mon piolet à la main, mes pas qui crissent sur la neige … Quelle sensation agréable cette, « déportation »…
Soudain un “crissssssss » puissant,  le bruit d’un coup de frein, brutalement  me tire de ma rêverie. là, devant moi, au STOP un bambin  imprudent, vient d’éviter de justesse une voiture . Hurlement de la mère, puis baisers fous pour décompresser sa frayeur.
C’en est fini de ma rêverie .Je ferme ma fenêtre, Tiens, les Cyclamen ont soif, je vais les arroser.Z


2 dans le passé
J’ai 12 ans, ma sœur et mon frère sous ma garde, responsabilité octroyée par notre mère qui est partie s’approvisionner au marché du jeudi.
Cheftaine en grand,  vraie commandante,  j’applique ma loi et les punis pour ne m’avoir obéi de suite ;
la sanction est cruelle : je les ferme à clé, et descend dans le jardin jouer.
Là, après quelques tours de marelle, soudain des cris à la fenêtre du 3ieme étage : les jambes pendantes, protégés par une  rambarde légère, les voici qui s’agitent  et vocifèrent à qui mieux- mieux. Ils ameutent tous les voisins.
 Sur ces entrefaites, ma mère revient  du marché, gros mensonge de ma part, je lui dis que j’’ai perdu la clé  en jouant dans le jardin. Et voici ma pauvre maman  qui scrute le potager en vain sous la pluie qui s’est mise à tomber !
 Un voisin doit casser le galandage pour libérer ma fratrie en danger !

La clé, je l’avais jetée dans l’égout. A ce jour je me demande encore pourquoi j’ai fait cela. Et lorsque que je passe dans cette rue de mon enfance, la fenêtre la haut, entourée de lierre maintenant, me nargue.. Mais ai-je du remord ?


3 en ville
Je suis à la médiathèque, un déluge m’empêche de sortir pour aller faire le tour des magasins en attendant mon bus.
Bien campée sur mes deux jambes je contemple la place.

Il pleut à verse, et la pluie en rafale s’abat sur la vitre qui me protège. J’en relève mon col instinctivement.

Des gamins malicieux pataugent dans les flaques et reçoivent quelques  claques pour leur témérité.

Le vent qui s’emmêle à l’averse tourne les parapluies et mouille les brushings.

Un ciré noir coure sous un chapeau ciré  noir, et va je ne sais où, est-ce un homme, une femme?
 Ses bottes, je l'imagine, font flip-flop.

Prisonnière de la pluie, je savoure ma quiétude entourée de tant de livres....&

4 dans le train
Au ralenti, dans cette  avant gare lugubre, mon train manœuvre et en croise  un autre identique, Deux trains qui gémissent sur des rails opposées.  Deux conducteurs conduisant  avec lenteur leur engin de puissance.


 Le nez collé à la fenêtre,  j’ai le temps de voir, d’autres voyageurs semblables,  la seule chose qui nous différencie c’est que nous sommes en sens inverse, mais mêmes regards  hagards et las dans cette heure de rentrée.

Une jeune fille s’applique sur un livre qui semble la captiver, la tête calée sur la vitre.

Un jeune blondinet scande un air  en tapant  des mains, les écouteurs d’un  MP 3 rivés à ses oreilles.

Deux amoureux,  sûrement seuls au monde, s’embrassent lascivement. Sous le regard étonné d’un chauve  qui inspecte ses narines.

Un jeune adolescent mastique un chewing-gum, en éclatant des bulles.

Et moi,  j’attends qu’enfin le train entre en gare pour clore la journée dans le calme d’une maison bien chaude
.B

5  sensation à travers
Mes verres de myope, $  quel ravissement ! grâce à eux, ce pin immense transparent, les bras  sans fin, offerts au soleil couchant,  surement son écorce rugueuse,  et sa sève à l’ odeur de térébenthine, mes oreilles attentives, à l’écoute du bruissement des branches, mes narines  ouvertes aux exhalations de senteurs suaves.

 Plaisir des yeux,  de l’écoute, sensation du toucher,  du flair,   peut être des pignons pour le plaisir de la bouche ?  

Nature irremplaçable 

sur une proposition de Domie ateliers bricoleurs de mots mercredi 6 novembre 2013

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2013-11-06T06:33:00+01:00

Ensorceleuses fragiles

Publié par JAK


Envahissantes, éphémères, elles  attirent le regard. Tous les reflets du ciel se mirent dans leurs formes remplies de mirettes brillantes

S’il y a un grand soleil, c’est mille feux qui rutilent

Si le ciel est bien gris, elles deviennent molles, volent, éclatent, s’étalent, mouillent un peu les frimousses, ravivant de fraicheur, un instant, leur couleur pâlotte.

 Elles ont des  formes changeantes, curieuses et pénétrantes, dévorant les secrets intimes de tout cet essaim qui bade, baguenaude, erre sur cette place blanche.

Peut-être  quelque magicien, lit dans cette apparente  info- bulle, un secret  qui rendrait ces badauds un peu moins anonymes

Elles sont vides et pourtant si vivantes, d’avantage que certains passants dont le regard est terne.

Ces bulles, là sur cette place, qu’il soit,  jouvenceau ou Viel- homme, enjoué ou maussade, hurluberlu ou réfléchi, chacun  n’a qu’une envie, c’est pouvoir les ravir, les garder, ou les faire exploser.

Puis,  indifférentes, après quelques instants de vie, passagères, s’en  retournent dans leur forme première que personne ne pressent.

Elles non plus, ces bulles ensorceleuses,  ne sont pas immortelles





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2013-11-04T23:05:00+01:00

Il suffit…

Publié par JAK

Il suffit…!

La vie est courte à mourir
Disait le fantôme de l’opéra
Prisonnier à perpette  sur le toit

La vie est courte à mourir
Disait  le prisonnier du goulag
Prisonnier des barreaux

La vie est courte à mourir
Disait le poète romantique
Prisonnier de ses mots

La vie est courte à mourir
Disait  l’agonisant
Prisonnier d’un mal puissant

La vie est courte à mourir
Disent  les désespérés
Prisonniers de leur désespérance

La vie est courte à mourir
Disait la reine méchante de Blanche Neige
Prisonnière de son miroir

Chacun De Son Coté
Ainsi la voit, la vie
$

Mais ici, en un mot je vous le dit pour moi,
La vie est belle à vivre,

Libre

Il  suffit pour cela de le vouloir toujours.



Jak pour Impromptus littéraires Semaine 4 au 10 nov 2013
Sur le thème paroles de la chanson "Chacun de son côté" la vie est courte a mourir  

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2013-11-04T13:29:00+01:00

Retour en arrière

Publié par JAK



Blanche est en beauté aujourd’hui  la cinquantaine, resplendissante.
13 octobre 1960 elle marie sa fille. Le soleil illumine,  et le ciel, et les cœurs.

Cependant une absente, sa mère….. Il y a un an elle était encore là, entourée, aimée, encore bon pied bon œil.
 Puis le destin… elle est partie silencieusement une nuit de décembre, elle avait 70 ans !

Blanche dans sa tête pensive, fait un retour- arrière.
Elle est petite fille, feuillète les albums de photos de famille. 
Clichés au charme désuet mais qui en disent tant !

Interroge sa mère, pour la énième fois : c’est toi Maman la mariée, sous la verrière ?

Et l’histoire alors à nouveau  se déroule…
Un jour d’octobre, des années 1900, sa mère se mariait….

Et alors Blanche bois les paroles de sa mère,   ce qu’elle connait déjà par cœur :

« Tu vois ma fille sur la photo je sourie, mais mon cœur en en deuil, ce cousin Alphonse, que l’on m’oblige à épouser, il prend la place de mon bien aimé Charles…. Ce Charles, sans situation, mais qui sait si bien peindre…
- Ce n’est pas un métier honnête chantent mes parents -
Mais que connaissent-ils- de la passion, eux aussi mariés de force,
Et bien ce jour là ma chère Blanche, j’ai été la plus désespérée des femmes,malgré mon ostensible gaité.

Mais sais-tu, ma beauté, que je ‘ai aucune amertume, car tu es venue au monde  ma  Blanche, pour mon plus grand bonheur,
 Et c’est pour moi le plus  beau cadeau de ma vie. »


Alors Blanche redescend  sur terre, son mari, amour de ses vingt ans, lui tend un verre de Champagne :
« Ah la santé de nos tourtereaux et de nos nombreux futurs petits enfants, oh ! ma Blanche. »


Jak pour semaine 45 mil et une

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