2013-10-31T10:16:00+01:00
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La maisonnée retentissait des cris stridents des galopins.
Ce matin, en revenant du jardin, l’oncle Marc avait disposé sur l’établi du hangar, de jolis potimarrons joufflus. Ils étaient là, tentants et mamy Klyne décida d’en faire la soupe de ce soir.
Ce velouté qu’elle mitonnait en chantonnant, dans la gaité du soleil automnal, elle le touillait avec tendresse, sachant que ces loupiots adoreraient cette préparation "spéciale Mamy", car elle y rajoutait beaucoup de gruyère, et de la crème fraiche.
Certainement, après la dégustation, elle aurait droit à des
-« mamy on t’aime », mots dont elle raffolait.
Pourtant il lui en fallait de la volonté pour conserver avec sourire, cette envie de vivre , de projeter dans l’avenir. Mais pour son grand bonheur, ils étaient là autour d’elle l’entourant de leur grande tendresse.
Depuis que la mort avait creusé son sillon dans la maison, cette envie de surnager, de continuer, en un mot d’être présente, c’étaient eux, « ses petits » qui la lui insufflait, grâce à eux elle restait la bonne vivante qu’elle avait toujours été.
Sans aucun doute, le « grand absent », elle le retrouvait dans ces petits enfants.
Et ce jour d’halloween, elle était radieuse.
J@k
mercredi Atelier Bricoleurs de Mots
2013-10-30T23:28:00+01:00
DICO DE LA PARFAITE SECRETAIRE
J’ai tout au long de mes longues années, avec curiosité, avidité, parcouru les dictionnaires.
Et puis la lumière fut, dans ma tête de jeune drôlette.
J’ai compris que je pouvais les consulter au fur et à mesure de mes appétences culturelles.
Je n’étais pas pas si nouille qu’il en paraissait !!!
Tout d’abord sur les bancs de l’école ce fut
Et
à la maison, exhibé dans une belle bibliothèque aux vitres en verre soufflé
Puis arriva Internet, et là je fus servie !
Il y a :
Connu et reconnu, je ne vous ferais pas l’insulte de joindre son URL !
Il s’intitule libre c’est un bel attribut !
Dico de la cuisine
; épicurienne, c’est mon préféré pour les bons petits plats que j’aime mitonner et savourer.

http://www.dictionnaire-cuisine.com/
http://mondouis.pagesperso-orange.fr/
Preuve de ma distinction
http://www.dicocitations.com/
http://www.amo.qc.ca/cgi-bin/pub/FRODico/dico.out
, et même des plus gros, et là ma foi, il y a du boulot !
http://www.biographie.net/
http://www.pomme.ualberta.ca/devoir/
Écrit par Ambroise Berce, il siège sur ma table de nuit, dans mon sac il me suit aussi.
Je m’en sers à tout va, il contribue à me faire lorgner autrement la vie.
mais je n’ai pas pour lui une Url à vous proposer. En ce temps là ce n’était pas encore prescris, si vous le lisez, comme vous avez de l’humour, vous en serez ravis.
Comment voulez vous qu’après tout cela je ne sois pas devenue
Une véritable Logorrhée (ienne) – Phraséologique
pour que vous y puisiez à votre convenance.
thème une belle balade dans le dictionnaire
Jak pour samedidefi@gmail.com
26 octobre 2013
Défi #270
2013-10-30T22:44:00+01:00
Monologue du Geek alias " Pagaillous"
![]() |
que vous inspire cette image |
Monologue du Geek alias « Pagaillous » à sa dulcinée Josette
-Dis Josette,
-Tu ne m’avais pas dit que le maire avait éditée l’affiche que je viens d’ exhumer en cherchant mon décapsuleur, dans ce capharnaüm!
********************
la Mairie vous informe :
Ce Qui Se Recycle > Poubelle Jaune :
- Les boîtes de conserve
- Les canettes de boisson
- Les bombes aérosols, les bidons et boîtes métalliques
- Les barquettes
***********************
-Si je l’avais su avant, j’aurais installé plus prêt mon micro-onde pour faire réchauffer mes pizzas !
-au fait sais tu où on jette les emballages métalliques des pizzas ?
J@k pour Mil et une...
Semaine 44
2013-10-29T15:08:00+01:00
SILENCE .......PANIQUE SONO !
Giovanni saute prestement de son lit. Son instinct l’a averti de l’heure imminente du lever. Jamais de sa vie il n’a utilisé quelconques moyens sonores pour se réveiller à l’heure.
Mais ce matin, son horloge interne n’a pas sonnée. Il a eu une nuit agitée, après un copieux arrosage avec les copains de l’orchestre et il n’a pas aligné beaucoup d’heures réparatrices dans les bras de Morphée.
Pendant que la bouilloire chante, il met en route comme à l’accoutumée sa chaine Haute Fidélité, pour se met dans l’ambiance, car ce matin c’est l’ultime répétition : le Concert Du Nouvel An à maitriser pour que le jour venu il en sorte une euphonie qui fera se lever sous les applaudissements toute une salle en liesse.
Tout à l’heure, il va lui falloir, seul devant son pupitre, coordonner tous les instruments, cordes, vents percussions, encourager les voix de la chorale, les sopranos, et altos, les ténors et basses et les faire vibrer ensemble, avec harmonie, dans toutes les nuances, pianissimo, piano, mezzo, fortissimo.
Aussi avant de se mettre au travail, il a besoin d’un bain musical.
Il, enclenche sur Fort le haut parleur intégré afin de faire résonner toute la maisonnée des sons de la Walkyrie.
Mais que se passe-t-il, rien ne retentit, pourtant les fréquences agitent leurs lumières vives sur l’oscillomètre, mais il n’entend rien. Il monte d’avantage le son, aucune sonorité ne jaillit !
La peur soudain l’envahie, il comprend qu’il est devenu sourd. Hier soir, cette sono exagérée, ces décibels à la limite du supportable, c’est là la cause ! Ses tympans fragiles, auront cédés : il n’entend plus. Il doit se rendre à l’évidence.
Clara, son égérie du moment, arrive en hâte excédée du violent tapage musical qui règne.
Elle hurle,
« baisse le son » ! .
Mais il n’entend rien,
Alors, joignant le geste à la parole elle fait cesser ce tintamarre.
Et Giovanni, s’agitant en tout sens tonitrue, désespéré
« Je suis devenu sourd, je suis devenu sourd !. »
Clara, alors s’approche de lui, intriguée, examine des oreilles, et part d’un immense éclat de rire qui retentit dans toute la maison :
Quel « niquedouille » tu fais : tu n’as oublié d’enlever tes boules Quiès.
Il n’était vraiment pas réveillé ! Mais heureux de sortir de ce cauchemar.
JAK pour les impromptus litteraires
2013-10-28T19:27:00+01:00
à l'approche ....
Les Regrets sont éternels
Mais le jour d’aujourd’hui est bien vivant, ancré ici
Alors pourquoi ?
Pourquoi ne pas dire à ceux que l’on aime,
« Je t’aime tu es un rayon de soleil dans ma vie »
Car un jour le rayon s’éteindra
Et alors les regrets ne serviront à rien
Si non qu’à s’affliger de remord
Du remord de n’avoir pu dire
« Tu es un rayon de soleil dans ma vie »
Alors pourquoi ?
Pourquoi renoncer à ceux que nous aimons
La distance sépare, mais toutes les émotions
Que suscitent un regard, une caresse s’inscrivent
Pour toujours. Ce sont ces valeurs effectives
Qui font que nous éprouvions du bonheur,
Au lieu du désespoir qui enclenche les pleurs
Devant l’irréparable.
Peut-être ainsi, la vie serait plus agréable,
A ceux que l’on oublie.
2013-10-25T21:29:00+02:00
les bricoleurs de mots bricolent
Les BDM chaque mercredi accrochent les mots sur du papier, peint, verré, à grains,
ou bien maillé(t), le plus souvent rayé.
Ils ont l’âme bien chevillée pour scier, raboter, agrafer graver, enfoncer les mots avec des formes qui n’ont rien de géométriques.
Les idées ils en ont plein dans leur boite à compas, mesurant leurs écrits, articulant leurs phrases.
Tels des artisans, ils triturent l’alphabet en de fines sculptures, battent les verbes pour mieux les amalgamer en conjugaisons bosselées.
Ils s’aident d’une spatule pour orner leur belle œuvre .Bétonnent à qui mieux mieux pour cimenter leurs traces.
Ils burinent dans un atelier immense, aux multiples courants d’air : les portes-fenêtres ne sont jamais bien jointoyées et les mots alors s’envolent tous à la pelletée.
Il y a un grand rideau raide comme une taloche qui cache, on ne sait quoi, on ne sait qui ,peut être quelques tire-forts dans ce lieu, égarés. Peut être est-ce Vulcain, et ses grandes tenailles, qui les sculpte du regard par le trou de la serrure, Diable ! se forgerait- il des illusions sur eux ! Il les verrait tous là pointant des clous sur tous les I, rabotant, burinant le Sieyès, en de jolis sillons, échafaudant mille et un termes pour une belle construction.
Les BDM en pincent tous les mercredis pour
les mots dits,
Et qui sait peut-être les non-dits,
et ils sont à eux seuls une vraie
HACHETTE- STORY
avec des mots imposés de bricolage
2013-10-24T20:31:00+02:00
Le hobby passionnel
J’aime passionnément, tout au long des semaines écrire aux Impromptus des mots et puis des mots, tous à la queue leu leu, avec mon stylo plume.
Je n’aime pas les égarer, les perdre, dans mon cerveau, ce vieux ciboulot, fatigué, écrabouillé par le poids des années Je n’aime pas non plus, geindre devant une page vide, aussi je me secoue, et les mots alors là, débaroulent et défilent, reviennent au galop effréné de tout un alphabet qui s’agite et s’organise.
J’aime les voir ressusciter après quelques efforts. Alors leur donner forme, les noyer dans des phrases que j’ai polies, parachevées avec plaisir, astiquées, fignolées avec élégance, comme bien, sûr je le sens, je le crois et mon bonheur est vif quand ils coulent, s’enroulent, se dérobent se cachent ou bien rigolent, et courent habilement sous mon stylo doré.
Je n’aime pas s’ils sont récalcitrants refusant de pénétrer mon texte, fuyants, rétifs, insubordonnés, alors là quelle tristesse ! Mon stylo en bave d’encre.
J’aime les aligner, un peu, beaucoup, à la folie, lorsque je les marie. C’est là mon hobby favori.
Je n’aime pas lorsqu’ils deviennent tristes, et s’ennuient sur un texte monotone, décalé ou rébarbatif.
J’aime, les M O T S, à chaque instant du jour et de la nuit, agréable passe temps, qui me fait oublier les vicissitudes de la vie
En un mot comme en cents
J’aime résolument les MOTS et mon stylo
Ils m’ensorcellent !
JAK pour impromptus littéraires 23 10 2013 sur le thème
Habitude, routine, manie sont souvent décriées, dépréciées ; mais ... si vous nous en offriez une à lire qu'au contraire vous adorez !
Vous nous ferez part de votre manie sans pour autant oublier celle qui nous réunit chaque semaine sur ce site
2013-10-23T14:21:00+02:00
Hommage aux « Mères » de la cusine de terroir
Décembre, une vague de froid déferle sur le pays. Le gel fait éclater les tuyaux qui se transforment en surprenantes chandelles le long des murs.
Célestine emmitouflée dans son châle, grelotte, ses doigts sont protégés du froid par des moufles. Elle est matinale Célestine pour aller aux Halles.
Ces Halles débordantes de vie où cela fourmille, grouille, s’agite, en tout sens, crie, beugle avec des sons tonitruants.
Des maigres, des gros, des grands, des petits, tous ces Forts courbent l’échine sous les cageots ou les quartiers de viande, un monde étrange règne sur le carreau, ici aux Halles. Microcosme des laborieux, lève-tôt, ne rechignant devant rien, ni l’ouvrage, ni le verre de muscadet.
Et Célestine, là, elle est à son affaire.
Elle repère de loin le « coquailler » qui sait si bien lui trouver de moelleuses volailles.
Elle l’apostrophe familièrement, tout comme une harengère,
- Hé ! Jules quoi de bon ce matin ?
- Oh ! la mère, j’ai quelques poulardes, venues tout droit de Bresse,
regarde ma belle si ca n’est pas joli :
Célestine les soupèse du regard, et de sa main, à travers ses mitaines, les caresse ; qu’elle douceur, cette chair nourrie au mais et aux grains de blé, bien roulée dans sa toile. Elle en choisit trois.
Plus loin le fromager, attitré, s’affaire avec le fil à beurre. Il entame une molette démesurée, maousse, à l’odeur douce et appétissante. Sur son étal les fromages les meilleurs : au lait cru, fermiers, affinés à cœur, de toutes les régions de France.
Elle en sélectionne de différents, Brebis de Pyrénées, Bleu d’Auvergne, Reblochon, Camembert, pour les autres elle hésite. Mais il lui faudra bientôt se décider, car elle a besoin aussi de légumes. Et le choix est immense, des éventaires à inspirer les peintres, des couleurs flamboyantes, respirant la fraicheur.
Des carottes encore ensablées, du persil odorant, des choux charnus et frisés, des échalotes fines feront son affaire pour aujourd’hui.
Célestine, dans ces Halles, flaire avec allégresse, un vrai bonheur. Elle hume, zieute, tâte, palpe , goûte , l’oreille aux aguets pour ne pas manquer quelques bonnes affaires proposées : tous ses sens sont sollicités, excités.
C’est céans, dans ces Halles, le moment préféré de sa journée, elle se sent encore libre, comme l’air.
Tout à l’heure, dans son Bouchon, il lui faudra s’affairer à la tâche, crier, ou tempérer, commander, maitriser le « coup de feu ». Et aussi surveiller les mijotages en cours, mitonner les sauces, assaisonner, mettre la main partout, alors, là elle régnera en maitresse.
Mais jamais comme ici, ce matin, dans ces Halles, en ce début du 20° siècle, à aucun moment de la journée à venir elle ne se sentira plus heureuse.
Et Célestine, cette batailleuse, besogneuse , ne sait pas qu’elle fait partie avec ses consœurs des précurseurs de la gastronomie, de notre si étonnante et savoureuse Cuisine De Terroir
JAK pour Mille et une semaine 43 22 10 2013
2013-10-21T18:45:00+02:00
ils se complètent
Mots imposés en gras
Elle aime gribouiller, c’est son dada, sa marotte, son passe temps principal.
Ne lui jetez pas l’anathème si elle ne fait que cela. Les corvées de pluches, de ménage, de repassage, le nez de mioches, bref tout ce qui incombe à une femme, c’est trop peu pour elle : elle les méprise, en fait à peine cas.
Son stylo encre courre, courre toute la journée, et lorsqu’il est à sec, elle le baigne dans du vinaigre pour le revigorer, et c’est reparti elle calligraphie à l’infini de sa belle écriture bleue.
Son mari, laborieux pomiculteur, a évoqué maintes fois maintes fois la possibilité d’un autre job, une sorte de reconversion .Il sait bien cependant au fond de lui que c’est mission impossible : elle n’en a cure,
Même lorsqu’ils sont plongés dans des ébats inavoués, toutes les chatouilles imaginées, les baisers doucereux comme des zéphyrs, rien ne peut la dériver de son idée fixe. Mais elle profite de ce temps perdu (à sons sens) pour alimenter ses livres érotiques.
Ce pauvre malheureux ramasseurs de pommes a tout essayé : il a consulté les plus éminents rebouteux de la planète, qui, même en actionnant leur tourniquet-totem, n’ont rien pu faire
Les psys les plus réputés n’ont jamais pu déceler la raison de cette addiction, ni surtout les moyens pour lui faire rejoindre la normalité.
Alors déçu de cette écrivaine en jupons, il se tourne vers son activité il récolte des variétés de pommes hâtives ou tardives mûries à point durant toutes saisons.
Il est aussi bricoleur, et en plus du ménage qu’il doit assumer, il bricole avec plaisir.
Justement, en ce moment, il répare la chaudière, et dans son dépôt, changeant le disque de la perceuse, il s’attaque avec rage à la tubulure, c’est sa façon à lui de refouler son amertume.
Il forme un couple atypique, chacun dans son coin. Et lui, miséricordieux, lui accorde toujours ses faveurs dont elle, derechef, alimente ses écrits
Finalement ils se complètent !
2013-10-21T16:14:00+02:00
À quelque chose malheur est bon
Inspiré d’un fait divers récent.
hurlupée qui donnait l’impression d’un pétard de 14 juillet permanent) , était radieuse.
Les vacances scolaires s’annonçaient sous de bons auspices : sa sœur les invitait à Tretetat pour le W.E, et plus si la météo était de la partie.
nantis de leur inséparable jeux de barbacolle, , elle se rendit à la banque, à 16 heures 34 exactement.
A cours de pécune, il lui fallait se fournir en monnaies sonnantes et trébuchantes.
La rue était en chantier, elle dû enjamber des palplanches que des ouvriers TP pressés avaient abandonnées au milieu du trottoir.
Ça commençait bien !
balandran noir, qui s’apprêtait à investir les lieux, brandissant un Browning et hurlant des « youftes » qui firent chanceler de frayeur les jumeaux.
Heureusement, simultanément, la sirène des grippe-coquins, le stoppa dans son élan.
Ce devait être un apprenti vide-gousset, car aussitôt poussé dans son accul, il leva les bras, jetant son arme.
Il l’attacha à l’aide d’un Virebouquet à un réverbère, le temps de réunir tous les témoins :
Une véritable pétaudière cosmopolite qui n’avait rien d’un rout !
Les interrogatoires eurent lieu de suite, mais par soucis perfectionniste, sans pitié, tous ces témoins furent convoqués pour le lendemain, tant pis pour eux si leurs vacances étaient houppées !
C’est ainsi qu’elle n’eut pas droit à son W E de rêve à Tretetat !
Ils ont sympathisé, et, jouant les acossoldahors, il est depuis moins sévère avec elle, pour ses fins de mois difficiles
HHHHHHH
LEXICOS GRATOS
Mots contrainte
Balandran : Long manteau de pluie, sans manches,
Barbacolles (avec deux ailes) f. Jeu de hasard appelé autrement Hocca.
Fulgurite fulguritum, (Hist. anc.) c’est ainsi que les Latins appelaient les lieux ou les objets frappés de la foudre,
Houppées : (imaginaire j@k)pour loupées)
Palplanches : autrefois planche consolidant une galerie de mine. Les palplanches permettent de constituer un mur de soutènement
Virebouquet : Nom des cordages servant à lier les pièces au câble d'un engin
Youfte (imaginaire j@k) cri terrifiant
Mots anciens rajoutés
Accul : lieu où l’on est acculé -qui n’ a point d issue
Acossoldahors : conseillers
Grippe-coquin autrefois nom plaisant donné aux agents charges d’ arrêter les malfaiteurs
Hurlupée : Ce mot paraît être une altération de l’ancien mot hurepé, qui signifiait
« Hérissé », et dans lequel entrait probablement le mot hure, au sens de « poil de la tête »
Pétaudière : assemblée confuse où chacun fait le maitre
Rout ou raout : assemblée de nombreuses personnes du grand monde
Vide gousset : ancien nom des voleurs
Volereau : petit voleur, voleur maladroit inhabile
JAK pour 256 sam’défi