Je t’aime arbre quand l’hiver t’a enfin dépouillé
Plus de secrets celés dans ton beau ramage
Aucune feuille ne te fait alors de l’ombrage
Seuls les oiseaux affamés osent te fréquenter
La vérité éclate dans tes bras étalés
Majestueux tu t’offres et j’aime déchiffrer
Ce que tu dissimules, dessous dans tes racines
Qui t’ancrent sûrement dans cette terre conquise.
Jak